Le vent


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 Pour ce jour, ce jour qui ne voit ni arc-en-ciel, ni poème
En ce jour, ce jour…
Qui nous promets les feux radieux et la vie de bohème…
 
Je danse, je pense, je crie !!!
Je me calme, j’explose.
Je réécris ma vie…
Je te tends tendrement ma rose.
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 Ma mère chantait dans un champ de blé quand j’étais petit
Et je ne comprenais jamais sa joie, ni sa colère
Mon cœur chantait en accord avec elle aussi, en harmonie
C’était une autre époque, des jours heureux, une autre ère
 
Vole très loin, je t’en prie mon oiseau d’amour
Que les vents te soient toujours cléments
Va les voir, tous mes proches et je coupe mon discours
Car je rêve que tout cela redevienne comme avant
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 Et ma mère ? Elle n’a guère  arrêté de chanter…
Sa chanson ? Elle sera pour toujours la plus belle que j’aie jamais entendue…
Et j’espère que ce concert va servir à nous tous de nous rencontrer
Je vous attends, je m’ennuie de vous, je suis tout ému…
 
Autor : Monsieur LaPadite

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